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Badouziennes
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Qui est Badouz ?
Une autrice illustrement inconnue !
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Archives mensuelles : juin 2018
Jour 622
J’étais avec Emmanuelle et Bibi. On se donnait rendez-vous à la hâte dans quelque deux heures à la maison. Je les quittais presque en courant pour aller à mon rendez-vous chez le psychanalyste, dont le bureau était à deux rues … Lire la suite
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Jour 623
Je trouve que je suis quand même assez souple. Je ne l’étais pas quand j’étais plus jeune. J’étais hyper non souple quand j’étais plus jeune. Je donne un exemple de ce que j’entends par être souple. Un exemple basé sur … Lire la suite
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Jour 624
Hum. Le temps est à l’orage. Je viens d’arriver à la maison. J’ai encore deux ou trois heures devant moi avant le retour de mon mari. Je ne me sens pas en forme parce que, contrairement à l’avant-dernière nuit, j’ai … Lire la suite
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Jour 625
J’ai été habitée cette nuit par un rêve qui confirme à l’évidence que je me porte très bien. Que j’ai trouvé ma voie. Que je me pardonne. Que je m’accepte telle que je suis. Que je m’aime, etc. J’étais avec … Lire la suite
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Marqué avoir du jugement, énoncer des évidences, capacité de bonté, convoiter un poste, deux carrés noircis au crayon de plomb, femme méchante, homme bon, lettre pour le moins étrange, phrase de velours, poste de professeur universitaire, quatorze et quinze ans, rêver au même homme depuis 45 ans, rendre service, voix douce
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Jour 626
Finalement, on apprend dans la dernière partie du roman Les repentirs qu’Arielle meurt d’une thrombophlébite dans son sommeil. D’après mes calculs, elle serait morte à trente-sept ans. J’ai terminé le livre hier au salon de coiffure pendant la teinture de … Lire la suite
Jour 627
Je suis en France, à Paris, à quelques pas des gens qui marchent sur les grands trottoirs. Je les observe depuis une fenêtre où je semble habiter, au rez-de-chaussée. Je les trouve chanceux d’être nés parisiens. Ils se rendent faire … Lire la suite
Jour 628
Je pensais que j’allais écrire aujourd’hui à propos du roman de Marc Séguin, Les repentirs, mais finalement je n’en ai pas envie. Il me reste le troisième texte à lire, parce que le roman est écrit en trois parties, indépendantes, … Lire la suite