Il m’est arrivé exactement cela, tout à l’heure.
Je suis en effet allée marcher entre le texte 107 et celui-ci 106. Il a fallu que je me force un peu pour me pousser dehors, mais une fois cela fait, ce fut très agréable. En cours de route, j’ai croisé un couple qu’il me semblait rencontrer pour la première fois de ma vie. Salue le couple poliment. Sur le chemin du retour, je remarque que le même couple, au loin, s’en vient dans ma direction, me confrontant à la possibilité de nous resaluer, ou de faire comme si de rien n’était, nous étant salués tout à l’heure ? Pour ne pas me demander, le temps de franchir la distance qui me séparait du couple, s’il convenait de saluer ou pas, pour ne pas subir l’inconfort de la même question à répétition, j’ai piqué par le terrain du voisin –qui venait de quitter en voiture pour la journée. J’ai tracé un grand cercle en marchant lentement jusqu’à la limite du terrain, et j’ai empiété sur celui adjacent qui est percé d’un énorme trou en attendant que s’y élève une maison supplémentaire. Je me suis arrêtée pour observer l’avancement des travaux, en ce sens que des matériaux ont été déposés ici et là en périphérie du grand trou.
Au final, je me suis trouvée bien piètrement équipée, sur le plan de ma confiance personnelle, mais cela ne m’a pas dérangée. J’ai arrangé ça à ma manière, en m’inspirant peut-être de François Mitterrand dont j’ai écrit il y a à peine quelques heures qu’il faisait la même chose. J’ai arrangé ça en me disant que dans certains contextes, d’ailleurs très récents, j’ai pu vérifier que j’ai pleinement confiance en moi, et cela m’a suffi. J’ai poursuivi ma promenade presque en haussant les épaules d’indifférence.
Cet après-midi, une fois publié ce texte test, je vais, oui, colliger les textes de ma septième année, mais d’abord travailler sur une nouvelle toile. Elle est étendue à plat sur ma grande table et m’attend. J’y ai versé hier un reste de peinture orangée que j’ai étendue à la spatule, peinture sur laquelle j’avais aussi saupoudré des pigments secs de cinq couleurs différentes –pour aller avec mes chandails en laine mérinos. Ensuite, j’ai déposé sur la substance encore humide une feuille de papier oignon provenant d’un patron qui aurait, dans son usage usuel, servi à une couturière désireuse de confectionner une robe sans manche. Le papier est de la même couleur que les sacs bruns disponibles dans les épiceries pour rapporter nos courses. Le mélange brun et orangé donne un résultat de couleur rouille, maintenant que les matières sont sèches. La forme obtenue est un peu celle du pays de l’Angleterre. Comme l’Angleterre va-t-elle évoluer ? Mystère et boule de gomme.
Il ne manque pas un à la toute fin de ton texte? Le problème ressemble à un délimiter manquant. Il y en a qui sont optionnels, mais d’autres pas, surtout si le texte doit être inséré à l’intérieur d’un code plus grand (fourni par wordpress). Ce pourrait être dans la partie « image », justement. Vérifie bien que tout ce qui est ouvert dans cette partie lettrine est bien refermé avant le passage à la partie texte. Ou bien il manque un séparateur « » entre la section image et la section texte?
Tu pourrais si tu veux m’envoyer le fichier du jour (avec le problème), pour que j’y jette un coup d’oeil?
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Je vois qu’un des caractères de mon commentaire a été absorbé par l’environnement wordpress. J’avais écrit (sans les espaces). Il aurait fallu que j’ajouter d’autres commandes html pour éviter sa disparition. Ça montre que ceux/celles qui commentent tes textes sont soumis eux aussi aux mêmes contraintes que toi… Ils/elles doivent respecter les règles de HTML et de WordPress… Ce qui n’est pas simple quand on ne le sait pas. Mes deniers guillemets sont également vides; c’est là en fait que j’avais mentionné le ; je ne sais plus quel était le premier code html de mon paragraphe qui a disparu; peu importe. J’aimerais bien que tu règles ce problème, parce que tes lettrines étaient un ajout très apprécié, et passer 105 jours sans elles va être un peu triste.
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Merde… je ne suis pas doué pour html. Même en séparant les caractères des directives html, WordPress les fait disparaître. J’abdique. J’imagine qu’il gobe tout ce qui est entre « plus petit que » et « plus grand que ». C’est pas drôle de se battre contre un censeur invisible, parlant un langage diabolique.
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Je t’ai écrit une réponse que j’ai perdue en voulant la publier. Décidément !
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C’est le Diable qui est derrière tout ça. Il s’est mis à l’informatique. Il se prépare pour saboter notre Noël prochain.
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Je ne suis pas d’accord. Je suis convaincue qu’une erreur niaiseuse est à l’origine de mes malheurs d’édition mais je suis trop paresseuse, ou trop peu intéressée par ce type de problème pour m’y arrêter et le solutionner.
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