Série vestimentaire – SV27

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Le nom n’est pas facile à lire, sans majuscule et sans point sur les i.

Din Bin. C’est la marque du vêtement de mi-saison que j’ai porté hier. J’ai trouvé quelques rares échantillons Din Bin sur le site américain (CA) d’achat et vente Poshmark. Les vêtements Din Bin y apparaissent sur des photos de qualité moyenne, suspendus sur des cintres ou alors couchés à plat sur le dessus d’un meuble, voire le plancher, sans mannequin. Rien à voir avec mes montages artistiques intégrant pomme, plante grasse et bracelet de maman. On se croirait en compagnie de Magritte. C’est une blague, bien entendu, car je trouve que mes photos vestimentaires sont poches au maximum.
Je n’ai pas porté aujourd’hui mon Din Bin pour aller au foyer m’occuper de papa, mais j’ai montré aux pattes la photo de mon vêtement en accédant à mon blogue par mon téléphone cellulaire. Nous étions dans la petite chambre de papa.
– Qu’est-ce que vous faites ?, a-t-il demandé.
Il devait trouver que je passais trop de temps sur mon téléphone, tout en ne sachant pas que c’était un téléphone que j’avais entre les mains.
– Lynda veut me montrer un vêtement qu’elle a vu dans un magasin, a répondu les pattes.
Je n’ai pas rectifié le tir en précisant que la photo du vêtement provenait non pas d’un magasin, mais de mon blogue.
– Drôle de vitrine, a dit mon frère tout de go, en constatant que le mannequin n’avait ni tête ni mains.
– Mais le vêtement ? L’aimes-tu ?, ai-je demandé.
– Bien, les couleurs sont passées de mode, a-t-il répondu en enchaînant sur un autre sujet.

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Tunique portée aujourd’hui 25 avril.

Je n’ai pas posé de question par rapport au vêtement que je portais, lui aussi de mi-saison, qui apparaît ci-contre. Il est de la marque Bleu Ciel. C’est-à-dire que la boutique où je l’ai acheté il y a longtemps, située sur l’avenue Monkland, s’appelle Bleu Ciel, mais le vêtement semble être d’origine italienne comme en attestent les mots Cielo Blu, qui sont imprimés sur l’étiquette. On dirait sur la photo qu’il s’agit d’un vêtement pour femme enceinte, mais il n’en est rien. Son originalité se situe dans le dos, car il s’y trouve une série de boutons simplement cousus, sans boutonnière. Quand j’ai découvert le vêtement dans la boutique, il m’a plu, d’autant qu’il est fait de rayonne à 100%, mais j’ai hésité à l’acheter parce que je craignais que les boutons soient incommodants le long de ma colonne vertébrale, dans la position assise et adossée. Mais finalement je ne les sens pas. Je suis allée travailler maintes fois vêtue de ce haut et d’un pantalon stretch de la marque Lisette, une sorte d’hybride entre le leggins et le pantalon cigarette.
Avant d’aller au foyer, à Joliette, j’ai fait un détour par Rawdon, encore et toujours, pour me faire teindre et couper les cheveux. J’adore ma coiffeuse, elle s’appelle Emmanuelle, comme ma fille. Je lui ai demandé si elle trouvait que mon collier, celui qui fait sautoir acheté chez la potière, je lui ai demandé si elle trouvait qu’il faisait mémère. Elle m’a répondu que si je trouvais qu’il faisait mémère, elle m’encourageait à le lui donner, plutôt que de le jeter.

À propos de Badouz

Certains prononcent Badouze, mais je prononce Badou. C'est un surnom qui m'a été donné par un être cher, quand je vivais en France.
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