
Patte de rabattement, Fitbit et bracelet médical.
J’en suis au même point qu’hier, quant à mon habillement. Je suis en pyjama, à 14h14 au moment où j’écris ce texte. Je me permets un écart dans la discipline de ma série pour mettre en ligne non pas mon mannequin vêtu de ma tenue du jour, mais ma personne devant le miroir pour montrer, sans le recours aux mots, ce que j’entends par une patte de rabattement. J’entends la languette de tissu à la hauteur du coude –au bras droit apparaissant à gauche sur la photo– qui a pour fonction de raccourcir la longueur de la manche lorsqu’on passe la boutonnière, située à l’extrémité de la languette, autour du bouton qui se laisse deviner sur la photo. Un bouton nacré. Quand je cherche « patte de rabattement » dans Google, j’obtiens toutes sortes de choses mais aucune du domaine des vêtements. J’obtiens des peluches dotées de plusieurs pattes, du matériel de quincaillerie dont je serais bien embêtée d’expliquer à quoi il sert, des panneaux de signalisation…
Je vais m’arranger pour porter ce vêtement en présence de mon amie belge, qui a beaucoup de vocabulaire, ou de mon ami hongrois, qui en a tout autant, et du coup je vais enrichir le mien.
– Comment désignes-tu cette patte de rabattement ?, vais-je leur demander.
J’ai hâte de connaître leur réponse.
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